Saint-Maurice-de-Rémens
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Toute une histoire...

Écrit et illustré par l'association Rencontres et culture de Saint-Maurice-de-Rémens.

Saint-Maurice du 4ème au 11ème siècles.
Saint-Maurice du 12ème au 18ème siècles.
Saint-Maurice au 18ème siècle.
Saint-Maurice du 19ème siècle à aujourd'hui.
Saint-Maurice : son église, son nom.
Saint-Maurice-de-Rémens : nom du village à travers le temps.

Nul doute que  le territoire de Saint-Maurice-de-Rémens avec ses prairies, ses bois et ses rivières et ruisseaux  poissonneux ait été fréquenté très tôt par les hommes. Comment imaginer que les habitants de l’abri de Vareilles (Ambérieu-en-Bugey) n’aient pas descendu l’Albarine jusqu'à sa confluence avec l’Ain !?

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A quelle date s’est édifié le village ?

Nous sommes en territoire Ambarre entouré des territoires des Allobroges au sud et à l’est, des Séquanes et des Helvètes au nord et de ceux des Eduens à l’ouest.
  
Vers l’an 407 le village passe sous domination Burgonde. Passons-nous en terre de Rémens ?
Pour certains historiens, le nom de Rémens ( A Romanis ) aurait signifié que les deux tiers du territoire auraient été cédés aux vainqueurs burgondes et qu’un tiers serait resté aux Romains.

Les Romains dont plusieurs historiens disent qu’un camp aurait existé dans la plaine de Château-Gaillard .
Lors de la guerre contre les Helvètes, Jules César écrit dans la Guerre des Gaules que : «  ses légions  passèrent la rivière d’Ain non loin de l’embouchure de la rivière Albarine, traversèrent le pays des Ambarres dans sa longueur et remontèrent au Nord-Ouest pour arriver à la Saône. »

534
Le territoire du village devient franc avec la victoire de Clovis sur les Burgondes.
Au VIe siècle apparaît le diocèse de Belley, la création d’abbaye, la construction d'églises.

De 843 à 870
Saint-Maurice-de-Rémens fait partie du royaume de Lothaire, un des trois petits-fils de Charlemagne (la Lotharingie).

870
Charles le Chauve, roi de la France occidentale (origine du royaume de France), profita de la mort de Lothaire II, sans enfants légitimes, pour agrandir son royaume. La possession de plusieurs provinces à l’est de la Saône lui fut assurée. Partage  fait en 870 à Mersan-sur-la-Meuse.
En 875, après la mort de Louis II (Germanie), il hérite du trône impérial, ainsi que des royaumes d'Italie et de Provence.
Le 25 décembre 875 à Rome, 75 ans exactement après le couronnement de Charlemagne, il est couronné empereur par le pape Jean VIII.
Saint-Maurice-de-Rémens fait donc partie de l’Empire de Charles le Chauve.

879
Intégration de notre territoire au Royaume d’Arles et Provence créé par Boson.

924
Passage de notre région au 2ème royaume de Bourgogne cisjurane qui annexe le royaume d’Arles et Provence.

Vers l’an 1000
Le royaume  était gouverné par le roi Rodolphe III, voué dès son enfance à l’état ecclésiastique et élevé dans un monastère : il vendit ses Etats à son neveu Henri II, empereur d’Allemagne.

1032
Le Bugey et donc Saint-Maurice-de-Rémens sont dans l’Empire Germanique.

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Saint-Maurice-de-Rémens : son église, son nom
L'église est construite dans le premier millénaire sur son emplacement actuel.
Sous le vocable de Saint Maurice, elle dépendait originairement de l'abbaye de Saint-Rambert-en-Bugey, qui en reçut confirmation, en 1191, du pape Célestin III et en conserva le patronage jusqu'à la Révolution.


Maurice d'Agaune
ou Saint Maurice et ses compagnons coptes venus de Thèbes (Égypte), Thébains des légions romaines, martyrs du Valais, seraient morts pour leur foi vers la fin du IIIème siècle.

Les soldats de la légion thébaine auraient reçu l’ordre de tuer tous les habitants près d'Octodure (Martigny) au nord des Alpes, qui avaient été convertis au christianisme par Saint Materne. Le refus d'obéir à cet ordre de Saint Maurice et celui de sa légion aurait été la cause d'un célèbre martyre, le massacre de la légion thébaine. (Wikipédia)

REMENS, est le nom primitif de Saint-Maurice-de-Rémens.
— Iter publicum per quod itur de Albarona versus
Remens, 1344 (arch. de la Côte-d'Or, B 870)


Le village est appelé Saint-Maurice-de-Rémens au 13eme siècle.
Statue de Saint-Maurice
(Eglise de Saint-Maurice-de-Rémens)
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L’église telle qu’on pouvait la voir avant la Révolution de 1789


Le clocher s’élevait en-deça du chœur. Le clocher actuel a été construit contre la façade, allongeant l’église.
On reconnaît la chapelle latérale et la sacristie à l’arrière plan.
Au XIXème siècle, deux  projets de reconstruction du clocher ont été élaborés. Le premier n’a pas été retenu. Un projet de construction d’une deuxième chapelle a été élaboré, sans suite également. Cette deuxième chapelle aurait dû être construite entre la chapelle et la sacristie.

Document  Bernard Grévin.
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Évolution du nom du village
PHILIPPON dans son dictionnaire topographique d’Ain paru en 1911, mentionne les différentes orthographes du nom du village de Saint-Maurice-de-Rémens

13ème : Santus Mauricius in meria ultra (ou bien  intra) fluvium enne ( enne : traduction : l’Ain)
14ème : Santus Mauricius de Meyri
1339 : Sanctus Mauricius
1344 : Via per quam itur de sancto mauricio versus Ambroniacum
1344 : Sterper  ou  bien( Iter)  per quod itur de Albarona versu Remens
1344 : Sterper( Iter) quod itur de villa de Remens versus les arenes
1350 : Sancti Maurici de Remenis
1385 : Sanctus Mauricius de Reymens
1447 : Sancti Maurici de Remens
1536 : Saint-Maurice de Bugey
1576 : Saint-Mauris de Remens
1613 : Sainct Mauris de Romans
1655 : Saint-Maurice de Romans
1670 : Sainct Mauris de Remans
1670 : Rémence
1734 : Rément
1793 : Reyment
1794 : Le  4  Nivôse an II de la République française. Pendant la Révolution, St-Maurice reprit son nom primitif de 1334 : Rémens. – district  de   Monferme.  
1795 : 26 Messidor, An III de la République. On revient à Saint-Maurice-de-Rémens.
1ère moitié du XIXème siècle : Saint-Maurice-de-Reyment
2ème moitié du XIXème siècle :  Saint-Maurice-de-Rémens (Orthographe actuelle).
Pour aller plus loin avec Édouard Philippon...
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...mais aussi avec les archives numérisées de l'AIn.

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Fin du XIIème Siècle
Naissance du hameau de Martinaz, situé à 2700 m au sud-ouest du bourg. Il doit son origine à la grange que les chartreux de Portes y firent édifier.

Dès le XIIIème siècle, Saint-Maurice-de-Rémens comme seigneurie fait partie du patrimoine des seigneurs de La Palud.
Construction du château-fort (bâtisse de défense).

1320

Guigonnet de la Palud donne à Henri, Dauphin du Viennois, évêque de Metz, tuteur du jeune Dauphin Guigues son neveu, la ville et le château de Saint-Maurice-de-Rémens, ce qui met fin à l’indépendance de la maison des Varambon - La Palud. Il promet secours et assistance contre le Comte de Savoie.
Saint-Maurice-de-Rémens devient dauphinois.


1349
Le Dauphiné devient français par la volonté de son dernier souverain.
Saint-Maurice-de-Rémens passe sous influence française.



5 Janvier 1355
Le traité de Paris aboutit à un échange de territoires entre la France et la Savoie, mettant fin aux querelles et prévoyant l’échange de toutes les enclaves. La France reçoit tous les domaines que les Comtes avaient en Dauphiné; la Savoie reçoit toutes les terres que les dauphins avaient possédées dans le Bugey.
Saint-Maurice-de-Rémens devient savoyard.

1536

Le roi de France, François 1er, qui s'est décidé à effectuer une descente en Italie, veut s'assurer préalablement du contrôle de la Savoie et du Piémont. En 1536, les troupes Françaises entrent en Savoie conjointement avec les Bernois et les Valaisans. Les troupes de Charles III (duc de Savoie) n'opposent qu'une faible résistance aux envahisseurs. Seule la citadelle de Nice reste inviolée. Le pays est non seulement occupé, mais aussi démembré.
Les Suisses s'emparent du pays de Vaud et s'installent à Thonon. La Savoie, occupée par les Français, est rattachée au Dauphiné
Saint-Maurice-de-Rémens devient français.

1559

Le traité du Cateau-Cambrésis permet au duc Emmanuel-Philibert de Savoie de recouvrer les provinces occupées par la France depuis 1536. Henri Ménabréa (Histoire de la Savoie, édition Bernard Grasset) souligne que, malgré la proximité culturelle de la Savoie et de la France, François 1er s'intéressait surtout à l'Italie et n'a jamais eu le projet sérieux d'annexer la Savoie à la France.
Saint-Maurice-de-Rémens redevient savoyard.

9 Mars 1576
La seigneurie de Saint-Maurice resta transmise de branche en branche dans la famille de la Palud jusqu’à Jean de la Palud qui mourut, ne laissant que deux filles.
L’héritière, leur mère Claude de Rye, fit unir la seigneurie de Saint-Maurice au marquisat de Varambon érigé en sa faveur le 9 mars 1576 par le Duc de Savoie Emmanuel Philibert de Savoie à la mort de François de Rye, marquis de Varambon et comte de Varax.
Cette érection en marquisat de Varambon concerna la ville de Varambon, le Comté de Varax, les Baronnies de Richemont, le Plantay, la Poype, Châtillon-la-Palud, Bouligneux, Tossiat, Saint-Maurice-de-Rémens, pour récompenser les antiques, nombreux et loyaux services de l’illustre maison de la Palud.

1595
Le château fort et le village de Saint-Maurice furent complètement ruinés par les troupes du Maréchal Biron (conquête de la Savoie par Henri IV).
Suivant une déclaration de 1603, on n'y comptait plus alors que vingt «ménagiers.»
Id., Hist. de la réunion de la Bresse à la France, p. 297.

Il ne reste aucune trace permettant de situer l’emplacement de ce château.
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Dauphiné

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France

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Savoie

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France

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Savoie
1601
Saint-Maurice-de-Rémens est définitivement français après le traité de Lyon (Janvier 1601)

1614-1615
Vente de Saint-Maurice-de-Rémens par Philibert de Clereval, docteur en théologie, prêtre, chanoine et coadjuteur en l’église cathédrale de Besançon, procureur, fondé de pouvoir de Ferdinand François de Rye de la Palud, chevalier, marquis de Varambon, à Ferdinand de la Baume, comte de Montréal et à Marie Olier de Nointel son épouse qui élirent en ami Pierre Perrachon, seigneur de Saint-Maurice de Romans, de la Tour en Vivarais, de Villeneuve le Plas, de Champagneu de l’Isle–Merjoux , secrétaire du roi et conseiller. (Guichenon, la suite de Dombes II).

Vers 1654 ou 1664
Pierre Perrachon, orfèvre à Lyon, achète la seigneurie de Saint-Maurice-de-Rémens .

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France

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24 Septembre 1718
Alexandre Perrachon, descendant de Pierre Perrachon, vendit à son beau-frère, Pierre Colabeau, pour 80 000 livres la baronnie de Châtillon-la-Palud .

1768
Reprise du fief de Saint-Maurice-de-Rémens par Jacques de Colabeau, conseiller honoraire à la cour des monnaies à  Sénéchaussée de Lyon, en qualité de tuteur de son fils unique Jacques Marie Alexandre de Colabeau, officier aux gardes françaises (quoique mineur) et héritier testamentaire de Pierre de Colabeau son aïeul.
( Par testament du 22 Septembre 1756) Archives de  B 11065)

1756

Claude Colabeau, son frère,  fit bâtir le château de Saint-Maurice où il se fixa.

1789
Pendant la Révolution, Saint-Maurice reprit son nom primitif,  Le 4 Nivôse  an II de la République française on lit : Commune de Rémens – district de  Montferme, (Saint-Rambert en Bugey ) département de l’Ain. On retrouve aussi l’ orthographe Reyment en 1793.

1792- 1797
La révolution n’inquiéta pas Claude Colabeau. On toucha très peu à son château, seulement pour en abaisser les deux tours «au nom de l‘égalité » nous disent les historiens. Dans les archives communales, on ne trouve pas de trace de cette action, par contre dans une séance non datée du registre des délibérations municipales il est indiqué que :
«Les officiers municipaux s’étaient aperçu que malgré le décret de l’Assemblée Nationale et toutes les publications qui ont été faites par le Secrétaire greffier au Sieur Claude Colabeau, ci-avant, seigneur du château de Saint-Maurice où il existe des armoiries de chaque côté du château, que le dit Sieur Colabeau ne s’était point conformé aux décrets, la municipalité décrète :
Que le dit Sieur Colabeau soit tenu de se conformer aux décrets de faire tailler avec des marteaux et ciseaux et rendre unies les dites armoiries qui existent au dit château dont le délai de 3 jours à compter d’aujourd’hui faute par lui de ne l’avoir fait, lequel après le délai de la municipalité en donne valeur le prix au premier maçon ou autre ouvrier requis le tout aux frais du dit Sieur Colabeau, ordonnons en que copie du présent arrêté sera notifié au dit sieur Grillion, son fondé de pouvoir pour qu’il soit tenu de s’y conformer».



1795
26 Messidor, An III de la République . On revient à Saint-Maurice-de-Rémens.
Lors de la Révolution, le village de Rignieu-le-Désert qui était une dépendance de la seigneurie de Chazey, fut rattaché à la commune de Saint-Maurice-de-Rémens. Plus tard, le 4 Brumaire An IV, Rignieu fut rattaché à la commune de Chazey.
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République
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Premier Empire
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Restauration 1815
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1830
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Second Empire

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17 Février 1800
Une loi du 17 février 1800 supprime les trop nombreux districts et crée les 4 arrondissements de Bourg-en-Bresse, Belley, Nantua et Trévoux.
La commune de Saint-Maurice-de-Rémens ne dépend plus du district de Montferme (Saint-Rambert-en-Bugey). Elle est désormais rattachée à l’arrondissement de Belley.
D’autre part, la commune de Saint-Maurice fait partie du canton de Lagnieu avec les communes de Vaux-en-Bugey, Ambutrix, Saint-Denis et Bettant.

1810
La commune de Saint-Maurice-de-Rémens est rattachée au canton d’Ambérieu .

1815-1830
Le château construit par Claude Colabeau passe aux mains des De Tricaud sous la Restauration.
Après en avoir hérité, Léopold et Gabrielle De Tricaud le remanient dans le style du Second Empire, lui ajoutant deux ailes couronnées de terrasses à l’italienne.
En 1829, ils font construire une chapelle accessible depuis l’intérieur du château.
Château de Saint-Maurice-de-Rémens
Château de Saint-Maurice-de-Rémens

Visible de la cour du château contre le mur, sous le toit du bâtiment nord, on peut remarquer une inscription en langue allemande.
« Baut des Herr das Haus nicht
 So arbeiten die Bauleute vergeblich »
C’est le début du Psaume 127 extrait du Livre des Psaumes. Ancien Testament (Version Louis Segond 1910)

Cantique des degrés. De Salomon
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« Si le Seigneur ne construit pas la maison,
 les bâtisseurs travaillent en vain »

Pont de GévrieuxPont de Gévrieux
1836
Création de l’école communale de garçons
Délibération du conseil municipal du 1er février 1836  
Maire : M Flamand Joseph
Après l’avis donné par M. le Maire, le conseil consent à établir une imposition extraordinaire afin d’allouer une somme de 200 francs qui sera employée pour le logement de la maison d’école et pour faire instruire les enfants de cette commune dont les parents seraient dans l’impossibilité de payer pour leur instruction.

L’école communale publique de garçons est née.

Le premier instituteur est M Joseph Guigard.

1848

Construction d’un pont suspendu sur la rivière d’Ain au bac de Gévrieux.


1865
Réfection de l’église, construction du clocher.
Détruit sous la Révolution, le clocher fut refait en 1865, non pas au dessus du chœur comme le précédent, mais sur le porche, lequel fut supprimé, allongeant un peu l’église. La flèche a été refaite en 1927 .

L’église est de style néo-gothique (XIIIe siècle). Nef voûtée à trois vaisseaux avec chapelle latérale. Chœur voûté en croisée d’ogives avec entrevoûtes peintes de huit médaillons représentant les Evangélistes et les Pères de l’Eglise. Les parois latérales du chœur sont ornées de deux blasons. Clefs de voûte armoriées.

Description ( Années 80)
Livre « Richesse touristiques et archéologiques du canton d’Ambérieu-en-Bugey.
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Eglise
1882
Création de l’école communale de filles.

1883
La rentrée des écoles communales de filles et de garçons se fait dans la nouvelle mairie école qui vient d’être construite.

1902
Construction du bureau de poste.

1909
Inauguration  du  pont de Gévrieux fixée au 16 Mai prochain.
L’inauguration est organisée par les municipalités de Châtillon-la-Palud et de Saint-Maurice-de-Rémens.
Vote d’une subvention de 300 francs pour participation aux frais.

1911
Construction de la gare du tramway sur la ligne Ambérieu / Ars.
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Gare de tramway
Octobre 1917
Création du camp des Fromentaux

1920
Après le décès de Madame Gabrielle de Tricaud, le château devient par héritage la propriété de Madame de Saint-Exupéry.
Ce château est la belle demeure familiale où Antoine de Saint-Exupéry  né à Lyon en 1900 passa une partie de son enfance. Cette demeure donnait sur un grand parc chargé de sapins noirs et de tilleuls chers à l’illustre pilote aviateur et écrivain. Il est présent dans ses ouvrages ( Saint-Exupéry Éditions Gallimard).
Les ouvrages : Cinq enfants dans un parc de Simone de Saint-Exupéry (Editions Gallimard) et les confidences de Marie de Saint-Exupéry : L’étoile du Petit Prince de Michèle Persane-Nastorg (Éditions du Triomphe) entre autres, racontent la vie de la famille Saint-Exupéry au château de Saint-Maurice.

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Château Saint-Maurice-de-Rémens

Édification des monuments aux morts (place et cimetière).

1930

Construction du château d’eau.

1932
Vente du château à la caisse des écoles de Lyon.

1951
Construction de la « petite école ».

Années 60
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Vue du village pendant les années 60
1986
Construction de l’école maternelle.

1994
Mise en vente du château par la municipalité de Lyon. La municipalité de Saint-Maurice demande à exercer son droit de préemption.

1997
Achat du château par l’association ALATFA. Contestation de la vente par la municipalité.

2004
Fermeture du camp des Fromentaux

2008
Annulation de la vente du château

2009
Achat du château par la commune.
Construction de la salle plurivalente

2020
Vente du château de la commune à la Région Auvergne / Rhône-Alpes
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